Wäre richtig lieb!
Ce livre s’agit d’un garçon juif qui s’appelle Joseph et vis pendant la Seconde Guère Mondiale. Son père travaille comme coiffeur et il a trois frères : Maurice, Albert et Henri. Sa mère et forcé de coudre des étoiles sur les vêtements des élevés et avec ça, les problèmes commencent. Des camarades se moquent des enfants et les rouer de coups. Un jour, Zérati – un ami de Jo – veut échanger son étoile pour un sac de billes. Apres, son père appelle ses enfants pour les raconter une histoire dans son enfance. Les enfants savent qu’ils doivent partir. Ils reçoivent d’argent et un sac avec les choses les plus importants et le père les dit qu’ils ne doivent JAMAIS dire qu’ils sont juifs. Pas une fois, á personne.
Á Dax un curé les aide pour passer le contrôle allemand. Après ils prennent le bus á Hagetmau.
Père Bédard dit que pour 500 Francs par personne, il peut les aider pour franchir la ligne de démarcation. Plus de deux semaines après, il arrive á Menton où ils rencontrent son frère Henri. Un jour, ils reçoivent un lettre de sa famille, dans quelle ils écrivent qu’ils sont dans un camp près de Pau. Henri décide d’aller là pour aider ses parents. Il raconte un mensonge que ses parents ne sont pas des juifs. Bizarrement, il fonctionne. Ils déménagent á Nice. Un autre jour deux policiers viennent de Henri et dire qu’il doit partir d’Allemagne pour travailler. Mais il ne veut pas, alors il fui á Nice.
Mussolini n’être plus au pouvoir ce qui est mal parce que c’est-á-dire que les Allemands occuperont Nice. Le père décide qu’ils doivent séparer une autre fois. Henri et Albert vont á Aix-en-Bains, Maurice et Joseph au Camp des jeunes Compagnons de France et les parents restent á Nice.
Parce qu’ils attendent d’un copain, ils sont arrêts des policiers Allemands. Ils disent qu’ils ne sont pas juifs et ils viennent d’Algérie. Ils sont interrogés très longuement et un curé falsifie des papiers pour lui. Les Nazis remarquent ca mais ils ne veulent pas avoir des problèmes avec la cathédrale française, alors ils les laissent partir.
Trois années après leur fuit, ils revenir á Paris – mais sans le père.